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"Le best of" de la littérature indienne en langue anglaise

"Le best of" de la littérature indienne en langue anglaise"Le best of" de la littérature indienne en langue anglaise

J'avais aujourd'hui envie de partager avec vous un article qui était apparu au mois de juin 2014 sur le site "The Better India" (voir ci-après). Il s'agit d'un article où sont répertoriés vingt chefs-d'œuvre de la littérature indienne en langue anglaise qu'il faut avoir lus.

Je ne vais pas procéder à une traduction mot à mot de cet article car ce n'est pas ma manière de procéder. Par contre, j'ai repris cette liste en gardant le titre original tout en y rajoutant le titre sous lequel l'ouvrage était paru en langue française. Afin de pouvoir vous donner un premier aperçu de chacun de ces ouvrages, je vous ai mis le résumé qui figure en quatrième de couverture et ensuite, si un article a été rédigé sur ce blog, son lien.

 

Par cet article, je veux avant tout vous faire connaître les chefs d’œuvre de la littérature indienne en langue anglaise et faire remarquer, en passant, qu'il reste nombre d'ouvrages non traduits aujourd'hui en langue française.

Bien évidement, c'est une liste non exhaustive et les chefs-d’œuvre de la littérature indienne ne se résument pas en vingt ouvrages. N'hésitez pas à me contacter si vous souhaitez en connaître d'avantage.

 

1 - Mahatma Gandhi "Autobiographie ou mes expériences de vérité"


J'accorde une haute valeur à mes expériences. Je ne sais si je suis arrivé à leur rendre pleinement justice. Tout ce que je puis dire, c'est que je n'ai pas épargné la peine pour que ce récit soit fidèle. Décrire la vérité, telle qu'elle m'est apparue, et de la façon exacte .dont je l'ai atteinte; voilà quel a été mon effort incessant A cet exercice mon esprit a puisé une paix ineffable; car mon espoir bien-aimé a été que les hésitants retrouveraient ici foi en la Vérité et en l'Ahimsâ. L'uniformité de mon expérience m'a convaincu qu'il n'est d'autre Dieu que la Vérité. Gandhi

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2 - NK Narayan "Le Guide et la Danseuse"

Libéré la veille de prison, Raju s'installe pour la nuit dans un vieux temple abandonné, non loin de Malgudi, cité emblématique née des mille souvenirs de l'auteur. C'est le moment de faire le point sur les errements de son karma. Plongé dans la rêverie des évocations, il est soudain interpellé par un paysan, naïf et humble, qui croit voir en lui un de ces solitaires surnaturels, swami en méditation.
Bon gré mal gré, Raju accepte le rôle qu'on veut lui faire jouer : " L'essentiel en matière de sainteté était, semble-t-il, de tenir des propos mystérieux. " En alternance avec cette accession obligée à la sagesse, on découvre les aventures passées de Raju-du-chemin-de-fer, guide touristique improvisé, et sa rencontre avec Rosie, affolante beauté à la gestualité de déesse. L'esprit d'entreprise de Raju, devenu son protecteur, projettera Rosie, la femme-serpent, au sommet de la gloire...
et du désenchantement. En arrière-plan d'une fiction aventureuse, le Guide et la Danseuse interroge l'imposture d'un faux gourou devenu sa propre dupe, et scrute avec profondeur et subtilité la destinée humaine sujette aux chimères des passions. " Je suis arrivé à la conclusion que rien ne peut être caché ou supprimé, c'est comme si on tentait de cacher le soleil avec une ombrelle ", déclarera en fin de parcours notre ascète malgré lui, nu et figé comme un héron dans les eaux basses d'une rivière sacrée.

3 - Rohinton Mistry "L’Équilibre du Monde"

A travers la vie d'un seul quartier et de son petit peuple de cour des miracles habité par des personnages venus de tous horizons , Rohinton Mistry réussit une fresque bigarrée et sensible qui est tout à la fois une parabole de la condition humaine et de l'odyssée d'une nation.

Révélation de la littérature anglo-indienne en plein essor, consacré par le succès et la critique internationale, Rohinton Mistry démontre un talent romanesque digne d'un Dickens ou d'un Hugo. Scènes de tendresse, épisodes d'une drôlerie pathétique, séquences de violences et d'horreurs, problèmes politiques en arrière-plan: l'Equilibre du monde est bien plus qu'une fiction, il est un monde à lui seul.

Un roman-fleuve charriant dans ses remous tout un flot de sentiments, d'émerveillements et de révoltes, une immense saga aux vertus stimulantes et magiques.

4 - Salman Rushdie "Les enfants de minuit"

À minuit, les nations émergent dans la liesse et la frénésie et les horloges joignent les mains pour saluer les enfants qui naissent. C'est ainsi que vont les choses à Bombay. Dans Les Enfants de minuit, Rushdie allie à merveille histoire publique et histoire privée au sein d'une dialectique identitaire qui fonde toute son œuvre. Le narrateur, Saleem, dont la mémoire a des soubresauts en apparence fantasques, est un de ces enfants nés à minuit le jour de l'indépendance de l'Inde. Ne sachant que faire des dons de télépathie que ce statut lui confère, il tente désespérément de s'inscrire en acteur dans la destinée de son pays. Or, c'est l'inverse qui se produit : l'histoire de l'Inde s'approprie comme un vampire les membres de la famille Sinaï, que le lecteur accompagne sur quatre générations. Saga baroque où la richesse de l'imagination coupe le souffle, Les Enfants de minuit est une œuvre sans tabou, passant impunément du drôle au pathétique, de l'onirisme au réalisme le plus cru.

Le deuxième roman de Rushdie, Booker Prize 1981, a été élu meilleur lauréat du Booker Prize de ces vingt-cinq dernières années.

5 - Jhumpa Lahiri "L'interprète des maladies"

Jhumpa Lahiri est confidente avant d'être écrivain. Elle écoute les habitudes secrètes, les émois intimes qui habitent ses personnages, prend note d'un détail significatif de leur quotidien, relève, avec une troublante minutie, ici le mouvement incertain d'une paupière, là le bruit imperceptible d'un objet que l'on déplace.

Chacune de ces touches délicates libère une salve d'émotions chez le lecteur, témoin lui aussi de l'inavoué, de l'inavouable. Presque tous les personnages sont américains, mais viennent de "là-bas", de l'Inde, dont l'auteur est aussi originaire. La plupart disent les souffrances, troubles et conflits liés à leur double culture. D'autres expriment au contraire la paix acquise et l'espoir.

Comme M. Kapasi, l'un d'entre eux, interprète dans un cabinet de médecins, Jhumpa Lahiri se fait la remarquable interprète de cette étrange maladie nommée "déracinement".Jhumpa Lahiri est indienne, mais elle est née et vit à Londres depuis 1968.

Ce recueil de nouvelles est son premier ouvrage, couronné par le prix Pulitzer 2000.

6 - Vikram Seth "Un garçon convenable"

" Tu épouseras un garçon que j'aurai choisi. " Ainsi parle à sa fille Lata une digne veuve éprise de respectabilité, Mrs Mehra. Un propos qui n'a rien d'inhabituel dans cette Inde provinciale des années cinquante, indépendante de fraîche date. Mais tout bouge dans cet immense pays. Les moeurs, les idées, les convictions religieuses ou politiques, tout est prétexte à affrontements et à débats. Courtisée par un jeune industriel, par un étudiant musulman et par un poète, Lata mettra deux ans à imposer sa liberté. Autour d'elle se déploie une fresque grandiose, prodigieusement vivante, où rajahs et intouchables, artisans et intellectuels, révolutionnaires et fanatiques, femmes libres et femmes soumises nous donnent le prisme complet d'une société placée entre ses traditions millénaires et son entrée dans le XXème siècle... On a pu évoquer le souffle de Dickens et de Tolstoï à propos de ce roman-fleuve, à la fois saga familiale et fresque historique, accueilli par un succès triomphal.

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7 - Arunrathi Roy "Le dieu des petits riens"

"Tout ce qu'on peut dire de l'Inde est vrai, on y voit les choses plus clairement parce que c'est le chaos", affirme Arundhati Roy à propos de ce premier livre qui lui a valu le Booker Prize en 1997. La jeune romancière indienne s'est inspirée du village d'Ayemenem, dans l'État de Kerala en Inde du sud, où elle a grandi. Un monde de bruit et de fureur vu à travers le regard de Rahel et de son frère Estha, deux jumeaux silencieux, perdus dans le monde des adultes et contraints par eux à la pire des trahisons. Dans l'odeur douceâtre de l'usine de confitures de la grand-mère, la lutte des classes rejoint la lutte des castes et autour de la redoutable grand-tante Baby Kochamma s'agitent des personnages tragiques ou pittoresques comme l'oncle Charko ou Ammu, la mère des jumeaux, abandonnée par son mari et amoureuse en secret d'un Intouchable. La seule loi qui régisse ce chaos est celle qui précise "qui devait être aimé et jusqu'à quel point", une loi qu'il coûte toujours cher d'enfreindre, en Inde ou ailleurs.

8 - Amitav Ghosh "Le Palais des Miroirs"

A Mandalay, en 1885, alors que le royaume de Birmanie s'écroule, offrant le triste spectacle d'un roi emmené en exil par les Britanniques, Rajkumar, un Indien orphelin âgé de onze ans que le destin des pauvres a jeté sur les rives de l'Irrawaddy, prend sa décision : il sera riche et retrouvera Dolly, la fillette fragile entrevue dans le Palais des Miroirs livré au pillage, et dont il est tombé amoureux. Ainsi va débuter une grande saga ...

9 - Kiran Desai "La perte en héritage"

Orpheline à seize ans, Sai, qui a passé plusieurs années sous la férule des bonnes sœurs, se retrouve chez son grand-père, juge de district à la retraite, dans le nord de l'Inde. Elle vit les enchantements et désenchantements du premier amour, sous l'œil distrait du cuisinier de son grand-père, le père de Biju. Biju, lui, attiré par le mythe américain, s'est expatrié à New York. Sa quête d'identité passe par la solitude, le dépouillement, l'exploitation des sans-papiers, et finalement, le retour au pays. La Perte en héritage est l'histoire d'êtres dépouillés de leur culture, déçus par l'Occident, et qui cherchent tant bien que mal à recouvrer leur dignité.

Il a été publié la première fois en 2006 et a a remporté de nombreux prix, y compris le Man Booker Prizer pour cette année, le National Book Critics Cercle Fiction Award en 2007, et en 2006 la Vodafone Crossword Book Award.

 

"Le best of" de la littérature indienne en langue anglaise"Le best of" de la littérature indienne en langue anglaise

10 - Mulk Raj Anand "The Private Life of an Indian Prince"

 

Roman non traduit en langue française.

C'est l'histoire d'un prince amoureux, qui perd son royaume et de la dignité, pour l'amour d'une nymphomane.

Le roman se déroule les premières années après l'indépendance de l'Inde (1947), lorsque les rois des différents indiens doivent renoncer à leurs privilèges et à leur statut.

11. Vikram Chandra "Red Earth and Pouring Rain"

 

Roman non traduit en langue française

 

Ce roman a été récompensé en 1995 par le Red Earth and Pouring Rain, Commonwealth Writers Prize for Best First Book et David Higham Prize for Fiction.

12 - Suketu Mehta "Bombay Maximum City"

De retour à Bombay en 1998, après une absence de vingt et un ans, Sukety Mehta est frappé par les métamorphoses de la ville tant aimée de son enfance : il décide d'en aborder tous les extrêmes et pour commencer, celui des émeutes de 1992-1993 entre hindous et musulmans. Ce conflit le propulse au cœur des violences de la guerre des gangs pour le contrôle de la vie politique et économique de la cité, une guerre souvent orchestrée par des parrains mafieux installés à Dubaï ou au Pakistan. L'auteur prend le risque de nouer des liens personnels, avec à la fois des tueurs sans merci et des indicateurs de la police, pour mieux nous guider dans le labyrinthe du crime organisé au sein d'une ville corrompue. Parmi les myriades de personnages du livre, il y a Mona Lisa qui, après une enfance de misère à l'image de celle des millions de déshérités des bidonvilles de Bombay, est devenue une belle danseuse, une entraîneuse capiteuse qui, la nuit venue, enflamme les désirs des hommes dans les bars chauds de la ville ; certains soirs on y rencontre même Honey/Manoj " une femme née homme par erreur ", que Suketu Mehta suit aussi dans sa double vie. Avec son millier de films par an produits par l'industrie cinématographique de Bombay, Bollywood n'a aujourd'hui plus rien à envier à Hollywood : là encore, Suketu Mehta nous convie avec complicité derrière les décors de ses studios. Passionnée, intimiste, émouvante, courageuse, impudique, tout à tour drôle et déchirante, cette formidable biographie urbaine initie un nouveau genre littéraire. De même l'hallucinante Bombay, la plus grande mégapole d'Asie, préfigure la génération des mégapoles surpeuplées de demain.

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13 - Rabindranath Tagore " L'offrande lyrique" (Gitanjali)

Publié pour la première fois en 1915, ce beau roman de Rabîndranâth Tagore, prix Nobel de littérature, a pour cadre le Bengale du début du XXe siècle où sévissent de graves troubles. Récit à trois voix qui se croisent et se répondent, histoire d'amour centrée sur un bouleversant portrait de femme, ce livre, où se heurtent la tradition et la modernité, est aujourd'hui encore étonnamment moderne, au point d'avoir inspiré au grand cinéaste indien Satyajit Ray l'un de ses plus grands films.

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13 - Mitra Phukan "The Collector’s Wife"

 

Roman non traduit en langue française.

 

C'est l'histoire de Rukimi, marié à un percepteur d'une petite ville de l'Assam et qui est enseignante d'anglais à l'université. Sa vie est réglée comme une horloge et elle vit dans une belle maison sur une colline au-dessus d'un terrain de crémation, apparemment épargnée par la dure vie de labeur des personnes vivant en-bas. Pourtant lorsqu'il arrive un incident dans la ville, la peur et l'incertitude qui saisit la ville trouve un reflet dans sa propre vie.

14 - Khushwant Singh "Train pour le Pakistan"

Seize millions de musulmans, presque autant d'hindous, et cinq millions de sikhs se partageaient, dans une mosaïque inextricable de quelque dix-huit mille villages, la province du Penjab, joyau de la couronne des Indes. Même si la religion les différenciait en communautés séparées, ils avaient en commun une langue, des traditions, une égale fierté pour leur personnalité intrinsèque de Penjabis. Mais l'indépendance des Indes britanniques et la création sur des bases confessionnelles de deux États séparés - le Pakistan musulman d'un côté, l'Inde à majorité hindoue de l'autre - brisèrent brutalement, en 1947, cette belle unité, provoquant un exode croisé aux dimensions bibliques dont le récit de Khushwant Singh ne constitue qu'un des innombrables épisodes.
Des rives de l'Indus aux portes de Delhi, sur près de mille kilomètres, il n'y eut pas une ville, pas un hameau, pas un champ de blé ou de coton qui ne fut affecté par la Partition. C'est dans les trains qui traversent son village de Mano Majra que l'auteur, témoin direct, place les scènes les plus bouleversantes de son livre car, en cette fin d'été 1947, les trains représentaient pour les populations terrorisées le plus solide espoir de fuir le cauchemar.
Cinquante ans après, au Pakistan comme en Inde, le souvenir de ces jours d'enfer reste vivant dans toutes les mémoires.

16 - Nayantara Sahgal "Rich Like Us"

 

Roman non traduit en langue française

Delhi, un mois après la déclaration de l'état d'urgence. L'urgence en Inde signifie beaucoup de choses pour beaucoup de gens - profit et de pouvoir pour certains; prison pour d'autres; cliniques de vasectomie mobiles pour des milliers d'autres. Pour les idéalistes comme Sonali cela signifiait la fin d'un rêve, l'extinction d'une flamme brillante de promesses pour l'avenir du pays qui avait brûlé depuis l'Indépendance. Une femme célibataire, fière de son classement supérieur dans la fonction publique, se retrouve rétrogradé et humilié par un accord au niveau gouvernemental qui est corrompu. Pour les opportunistes comme Dev, un bénéficiaire de l'opération, cela signifie une chance de reprendre en main l'affaire que son père malade devait quitter et de se faire une place parmi les leaders des nouveaux entrepreneurs. Le collègue de Sonali, Ravi Kachru, marxiste passionné, se rend indispensable à la "lignée royale". Pendant ce temps, le commerçant têtu, Kishori Lal, survivant ensanglanté de la Partition, atterrit dans une cellule crasseuse d'une prison pour un crime inexistant.

"Rich Like Us" est rempli d'histoires individuelles donc nombreux témoignage reliant une Inde du passé et du présent.

17 - Anita Desai "Un héritage exorbitant"

Deven Sharma, professeur dans une université proche de Delhi, est promis, semble-t-il, à une existence sans histoire entre sa femme, son fils et ses étudiants. Jusqu'au jour où on lui demande d'interviewer pour une revue littéraire Nour, le plus grand poète d'expression urdu, qui vit retiré au fond des bazars de Delhi. Or Deven idolâtre Nour depuis son enfance et c'est ainsi qu'il décide de se consacrer à ce qu'il croit être l'aventure de sa vie : conserver pour la postérité la voix et l’œuvre du poète, héritage précieux entre tous. Mais c'est sans compter avec la cupidité de l'entourage de Nour, les turpitudes du vieillard et les drames que sa mission va déclencher en série dans la vie privée de notre héros. C'est avec un humour corrosif qu'Anita Desai raconte l'histoire de cet "héritage exorbitant".

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18 - Sunetra Gupta "The Glassblower’s Breath"

 

Roman non traduit en langue française

 

Une jeune femme indienne brillante est pris entre sa propre capacité presque illimitée de l'expérience - affective, intellectuelle, sexuelle - et le désir des hommes. Un roman entre Calcutta, New York et Londres.

19 - A. K. Ramanujan "The Collected Poems"

 

Poèmes non traduits en langue française.

20 - Nirad C. Chaudhuri "The Autobiography of an Unknown Indian"

 

Roman non traduit en langue française

 

"The Autobiography of an Unknown Indian" est curieusement dédié "à la mémoire de l'Empire Britannique en Inde". Étrange et fascinante autobiographie, qui parle presque autant de l'histoire de l'Inde et de la vie quotidienne au Bengale que de Chaudhuri lui-même.

 

 

Pour terminer, je vous conseille deux ouvrages sur la littérature indienne, que je lis régulièrement qui me servent régulièrement pour mes recherches :

 

- La littérature indienne de la langue anglaise de Michel Renouard aux Editions Presses Universitaires de France, Collection "Que sais-je"

- Histoire de la littérature de l'Inde Moderne de Claudine le Blanc aux Editions Ellipses

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B
Merci pour ces précieux conseils. Je pars en Inde bientôt et je cherchais justement des écrivains indiens pour m'accompagner durant mon périple. Et bien c'est chose faites, merci! <br /> Benjamin
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V
Avec plaisir.<br /> Si vous souhaitez un conseil personnalisé sur l’État que vous visitez, n'hésitez pas à me demander.<br /> <br /> atasiblog@gmail.com <br /> <br />